D’une bonne moyenne sans plus, car d’autres occupations nuisaient à son entraînement ; il ne semblait pas dépourvu de qualités tactiques et stratégiques, mais il était très mauvais perdant.
Il exigeait de ses adversaires, l’application de la règle « pièce touchée, pièce jouée : ce qui est en vigueur actuellement dans la règle officielle, mais ne la respectait pas lui-même ! »
Il bousculait parfois le damier si sa partie était compromise, et lui arrivait même de projeter le matériel en l’air, (procédé bien entendu contraire à la courtoisie dans le silence du règlement…)
A Sainte-Hélène, NAPOLEON joua beaucoup, notamment avec la Comtesse de MONTHOLON qui passait pour très experte, mais dont les coups furent sans doute très communs, puisqu’aucun ne passa à la postérité.
Le damier de NAPOLEON fait partie des objets pieusement ramenés de Sainte-Hélène.